Je suis devenue l’esclave d'une lesbienne dominante

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il y a 8 ans

Je suis devenue l’esclave d'une lesbienne dominante

Je vais vous raconter comment moi Anne-Marie une femme classique et une épouse aimante je suis devenue une lesbienne esclave d'une goudou après avoir été une hétérosexuelle pure et dure ! J'ai 37 ans et je me pensais rangée pour toujours, mariée et deux e n f a n t s mais une sale histoire d'accident de voiture est venue tout briser. Mon mari ne s'en est pas sorti et moi je n'ai pas eu grand chose bizarrement.

C'était il y a un peu plus de deux ans et pendant les mois qui suivirent j'étais totalement dévastée. Une voisine que je connaissais assez peu a semblé vouloir me soutenir dans cette épreuve et je me retrouvais chez elle de plus en plus souvent. Elle s'appelle Nathalie et je dois dire qu'elle est assez "hommasse" comme apparence, je sais aujourd'hui qu'elle est âgée de 40 ans et célibataire, et j'ai bien du me rendre compte qu'elle est complètement et absolument lesbienne sans parler d'autres vices que je connais maintenant.

Je le suis toujours posé la question: Elle profité de mon deuil ? Mais je sais aussi qu'elle m'a aidé ce qui est évident aussi. Toujours est-il qu'un jour elle m'a tenu un discours curieux comme quoi pour sortir de mon état il fallait une rupture décisive dans ma façon de voir et de ressentir les choses. Elle pensait à quelque chose de radical pour contrer le fait que je semblais inconsolable.

Je me demande encore comment elle a pu me convaincre au bout de deux mois d'appliquer ce traitement décisif selon elle, qui consistait à me donner une bonne fessée pour rediriger mes pleurs sur autre chose. Elle a réussi en tout cas, c'est vrai que j'étais perdue et dans le brouillard, sans espoir.

On a fixé ça un mercredi je m'en souviens encore elle a dit de prévoir deux bonnes heures chez elle. J'ai plutôt des grosses fesses par rapport à l'ensemble de mon physique, je suis brune avec des cheveux longs sans parler de mes gros nénés, et elle est blonde avec une coupe de cheveux très court, elle est aussi très mince avec une poitrine plutôt plate, et elle est maigre d'après mes critères de femme un peu ronde.

Suivant ses instructions je me suis installée en travers de ses genoux, elle était assise, je me retrouvais comme parfois les e n f a n t s quand ils sont punis, elle avait les jambes un peu dures, je sentais ses os.

La séance à commencé par des tapes avec la main sur ma jupe pendant quelques minutes, cela me chauffait, elle a ensuite retroussé ma jupe et frappé sur ma culotte, je sentais de temps en temps qu'elle ratait et touchait mes cuisses, c'était un peu douloureux.

Ensuite elle a dit je suis désolée mais il faut appliquer jusqu'au bout et elle a descendu ma culotte, je n'étais pas trop choquée je pensais déjà moins à ma peine. Elle a rougie mes fesses et le haut de mes cuisses (selon ses dires, "je dois rougir la peau"). Cela me cuisait sévèrement, après elle a pris une large spatule en bois elle me l'a montrée en la mettant devant mes yeux et en disant c'est nécessaire absolument ! Je commençais à souffrir vraiment, mes fesses n'étaient qu'une brûlure, et là c'est devenue intolérable, la douleur était terrible ! J'avais la sensation qu'on m'arrachait la peau ! Elle a arrêté au bout de trois ou quatre minutes, la règle était 25 coups sur chaque fesse, elle a dit je ne peux descendre en dessous. Je pleurais, elle était bizarrement rouge sur le visage, et moi je saignais par endroit comme j'ai pu le constater. Je me suis laissée aller complètement, j'étais debout devant elle à sa merci, elle utilisait une crème apaisante sur les parties abîmées et le haut de mes cuisses brûlait, en même temps j'avais eu des sécrétions vaginales énormes et ça piquait ma minette.

Je lui ai dis ça me pique là en montrant les lèvres de mon sexe, elle a appliqué la crème avec une mine très concentrée et sérieuse, je me sentais comme un bébé qu'on doit soigner pour éviter que sa peau soit abîmée. C'est la que j'ai ressenti une chaleur extrême et une explosion v i o l ente de bien être dans mon corps et dans ma tête qui m'a laissée ensuite dans un état second, j'étais complètement décontractée comme je ne l'avais jamais été auparavant. Elle m'a regardé et a dit "c'est la première fois ?", j'ai répondu bêtement "oui". Sa réflexion a été "eh ben ça c'est ce qu'on appelle un vrai orgasme et crois moi je m'y connais !".

Dans les jours suivants je ne ressentais pas de stress et je n'étais plus dans ma peine comme précédemment, j'avais toujours du chagrin mais je voyais les choses positivement. Il est indiscutable que cette thérapie bizarre à fonctionné. Je n'ai pas revu Nathalie pendant une semaine et elle n'est pas intervenue.

Je dois avouer qu'une fois pendant cette courte période j'ai rêvé de "la thérapie" et que j'ai du me masturber avec difficulté (la masturbation n'est pas dans mes habitudes du tout). Je me suis levée en me caressant et j'ai été à la cuisine prendre une spatule en bois et c'est là que j'ai joui sans rien faire de plus.

J'ai senti que je devais voir Nathalie pour en parler, et bref je ne sais pas trop pourquoi en plus, mais je devais y aller. Elle a été heureuse de me voir avec un visage transformé, et on a longuement discuté. Elle m'a expliqué que j'avais du refouler certaines tendances masochistes pendant très longtemps et qu'elle avait plaisir à m'aider dans cette voie si je le désirais. J'étais confuse mais en même temps mon désir était indiscutablement là.

Nous sommes amantes depuis deux ans et je vénère Nathalie qui me punit avec bonheur régulièrement, j'en ressens un plaisir intense, je n'ai plus de gêne à lécher sa chatte à fond pour la remercier et je fais tout ce qu'elle désire pour la faire jouir aussi. Je réclame souvent une punition plus longue ou plus forte en le demandant timidement à ma "maîtresse", je sais que ça l'excite énormément alors je ne rate pas une occasion dans ce sens. Je dis aussi "merci maîtresse" comme je sais qu'il faut le faire après avoir souffert intensément. Je lui confie gentiment que si elle a des envies plus difficiles pour moi je serais heureuse de la satisfaire. La vie est devenue merveilleuse et j'ai complètement oublié mon chagrin.

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